John Milton (1608-1674), l'auteur du Paradise Lost (1667), ne s’imaginait pas en écrivant le "masque" Comus (1634), qu'il donnerait son nom à un groupe de folk des années 70 ; lequel groupe ne savait pas non plus en écrivant le morceau Drip Drip, qu'il inspirerait le nom d'un des albums du groupe suédois Opeth.
Belle histoire de ce groupe qui après un premier album culte en 1971, suivi d’un second en 1974, est resté dans l’oubli jusqu’à ce que Mike Akerfeld les pousse à se reformer, si bien qu’ils joueront au Festival Equinoxe cet été.
2 commentaires:
Il a l'air génial ce festival, comment en as-tu eu vent? Comus et John Zorn sur la même affiche, ça décoiffe!
Oui, en effet, un festival comme seule l'Angleterre sait en produire. C'est dans le dernier numéro de Wire que j'ai lu l'article sur Comus.
http://www.thewire.co.uk/issues/304/
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